Rencontres

Jeudi 31 décembre 4 31 /12 /Déc 20:21
Tu m'avais dit : "viens me retrouver"
Je suis venue.

C'est drôle de te voir enfin, en vrai.
Je t'aurais immédiatement reconnu, avec tes cheveux en bataille, ton tee shirt bariolé, tes bottines de parisien en vadrouille.

Nous avons d'abord bu, moi un café, toi un coca.
Puis nous avons parlé, parlé, avec de temps en temps des éclats de rire.
C'était agréable.

Deux autres cocas et nous voilà comme de vieux copains réunis autour d'une table.
Avec une envie de se trouver enfin.

Resto sympa, la conversation s'anime, les désirs s'exposent.
Promenade dans les rues de la ville, un coin sombre semble propice à un enlacement.
Tu me débarrasses de mon slip qui se retrouve au fond de ta poche.
Je coule sur tes doigts experts.
Mes cris réveillent le chien d'à côté qui nous fait fuir.
Nous repartons main dans la main vers ta voiture.

Direction ta chambre d’hôtel.

J’adore la vue sur la mer, le ciel est étoilé, la nuit va être torride.

Sur le balcon, tu m’enlaces et m’embrasses passionnément.

Tes mains glissent sous ma robe et retrouvent ma fente inondée, mes fesses bien rondes.

Tu me demandes si je veux ta langue pour me goûter.

Evidemment. Je l’attends depuis un moment déjà.

Je me retrouve assise sur la chaise en plastique blanc, la robe remontée, les jambes bien écartées et ta tête entre les deux.

CHAMBRE HOTEL VUE

Tu t’es agenouillé devant moi et déguste mon nectar qui n’arrête pas de couler pour toi.

Sur la plage en bas, quelqu’un tire des feux d’artifice et le 14 juillet est aussi sur ce balcon.

feu-d-artifice Je jouis à la lumière de ces couleurs pétaradantes. Le bruit de ces explosions étouffe les miennes.

Tu reviens de temps en temps m’embrasser, tu me fais goûter ma saveur intime, très salée.

Nous filons comme deux ados sous la douche.

L’eau tiède ne rafraîchit pas nos ardeurs, nos mains parcourent nos peaux mouillées, savonneuses, glissantes.

C’est bon de me presser contre ta chaleur et ton ardeur montante.

Je l’ai enfin en main ce membre que j’ai tant admiré de loin.

Nous continuons sur le lit.

Tu aimes me lécher, j’aime que tu me lèches.
Tu me fouilles,  profond, je crois que je vais réveiller tous tes voisins.

J’ai un orgasme tellement fort que je dois te demander d’arrêter, de me laisser reprendre mon souffle.

C’est le troisième ce soir.

J’ai bien fait de venir te rejoindre dans ton hôtel. Ton lit est immense et nous sommes tellement collés qu’il paraît encore plus vaste.

chambre hotel

Tu sollicites ma langue pour ta virilité. Je te goûte, te lèche, te déguste. Ma langue fait le tour de ton bout, goulûment, gloutonnement. Ta tige se redresse. Je te sens au bord de l’explosion.

Je t’invite à honorer mes seins de ta semence. Elle gicle longtemps, toute chaude.

Je l’étale voluptueusement sur ma poitrine. J’aime avoir les mains collantes.

Tu m’embrasses sensuellement.

Plus tard, nous nous endormons enlacés.

La clim ronronne doucement.

Le lit est ferme et accueille nos rêves.


feux-d-artifice

Par Quatre épices - Publié dans : Rencontres
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Dimanche 14 décembre 7 14 /12 /Déc 07:12
J'entame un échange de mails avec Sylvain.
De plus en plus chauds, de plus en plus intimes.
Mais il ne se montre pas. Il n'a pas de photos à envoyer !
Il manie les mots avec art, mais reste dans l'ombre.
Je vous livre un deuxième message de ce mystérieux amant.
Invisible mais qui sait si bien me donner du plaisir.



"Je ne sais pas si c'est C*r*n*  que tu invites à visiter ta maison blanche

mais je t'y trouve en tenue cool, en jean délavé et en débardeur blanc.

Ta peau de pain d'épice en intensifie la blancheur.

Ton sourire m'invite à t'enlacer et tel un comédien après la représentation je suis en peignoir, tu retires mon grand nez, je suis enfin démasqué, tu tires sur ma barbichette de mousquetaire, elle est bien collée, la maquilleuse a bien fait son travail.

Tu te retournes et en te cambrant, tu plaques ton dos contre mon torse.

Je t'embrasse le cou, te suce les oreilles et te caresse les seins nus sous le léger tissu.

Le gras de mon doigt roule sur tes tétons durcis

ma main descend entre ton jean et tes hanches comme dans une grande poche

et descend jusqu'à rejoindre la fine bande d'un string.

Soudain tu arrêtes mon geste comme pour me dire :

« tous ses tissus sont-ils bien nécessaires ?».

En te penchant en avant tu enlèves le jean et le string en même temps en dandinant ta croupe comme pour m'inviter à caresser tes fesses.
Tu te redresses
et toujours en te cambrant tu te plaques à mon corps

et tu sens ma queue se durcir entre tes fesses.


Je te laisse imaginer la suite pour tes caresses solitaires...

Je t'embrasse où tu veux."

Par Quatre épices - Publié dans : Rencontres
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Samedi 13 décembre 6 13 /12 /Déc 13:14

J'ai fait connaissance d'un homme croisé sur un site de rencontre hot.
Je l'ai surnommé Sylvain.
J'adore sa façon de tourner les mots. Il arrive à me créer une histoire et à susciter le désir.
Nous avons échangés beaucoup de mails, de plus en plus chauds.
Je vous livre un des premiers qu'il m'a adressé.

"En ce moment j'écoute une nouvelle chanson de Cabrel à la radio, il sort un nouveau disque qui a l'air sympa avec paraît-il une reprise d'une chanson de Dylan.
Cela irait très bien avec ton paysage.

Il est bien tard et j'ai envie de l'emmener avec toi et le soleil dans mes rêves.
Avec toi il y a de l'amour dans l'air et le rêve ne peut-être qu'érotique et je t'imagine te caressant sur ton balcon, passant la main dans tes cheveux, je t'embrasse la nuque et le cou pour me coller à ton corps chaud de désir, tes seins semblent attendre mes baisers et ma main prend le relais de ta main sur ta chatte chaude et humide pour te faire monter le plaisir.

J'te raconte pas dans mon délire il n'y a pas que le tien qui monte.

Il faut que je me calme...

A plus avec mes doux baisers."


 


Par Quatre épices - Publié dans : Rencontres
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Dimanche 7 décembre 7 07 /12 /Déc 06:01
Premier contact sur la messagerie du site hot avec un homme, oh comment je vais vous l'appeler, ...
Break
voilà il est baptisé
donc échange de mails, passage sur emesene, et rencontre réelle devant un kawa
on papote, on papote, difficile pour une première rencontre d'aller droit au but
mais la discussion est chaleureuse, intéressante, bref pleine de promesses
puis calme plat pendant quinze jours
et ce samedi Break me recontacte sur msn, la conversation s'anime, il me chauffe celui-là
alors re-rencart pour l'après midi
cette fois pas de kawa, mais un tour dans sa ... break


tiens, il tourne dans ce petit chemin
oh il va me faire le coup du champ
quand on a pas de lieu où s'isoler, chez l'un ou chez l'autre, direction le champ
j'en rêvais
retrouver mes années ados, cool...
il trouve un endroit un peu tranquille, mais vous savez, ici, il fait chaud, très chaud en ce début d'été
alors on sort de la bagnole, toujours un peu gauches
je me dandine d'un pied sur l'autre, cherchant une contenance
bien sûr j'ai mis une jupe, évasée, et un petit haut bien moulant et bien décolleté qui ne cache rien de mes charmes
Break n'est pas très sexy avec son short et sa chemise large. Aujourd'hui je le trouve même petit mais il a une façon de manier la langue, de parler hein je veux dire, qui me charme.
Et en parlant de langue, il trouve le chemin de la mienne. Premier baiser. Qui dure, qui dure très longtemps.
D'abord seules nos bouches se touchent puis peu à peu nous nous retrouvons complètement enlacés. Ses mains parcourent mon corps, s'attardent sur mes fesses rebondies. Je me frotte contre lui. Enfin.
Je ressens de doux picotements au creux du ventre. Je suis chaud bouillante, prête à exploser.


Il m'invite à m'installer confortablement à l'arrière de la voiture.
Enfin quand je dis confortablement, j'me comprends.
Parce qu'il fait très chaud, alors ca fait un peu sauna dans la bagnole, la transpiration ruisselle sur son front mais il se fait de plus en plus coquin. J'oublie le lieu, les gens qui passent et je me laisse porter par ses mains sur ma peau. Une main s'est glissée sous mon slip, je frémis. Son doigt trouve rapidement mon bouton déjà bien durci. Je commence à ronronner. Je ferme les yeux et savoure ce moment.
Je sens que Break s'impatiente, il n'aime pas le tissu.
Qu'à celà ne tienne. Enlève moi le slip.
Pas simple non plus coincés à l'arrière mais l'envie est trop forte, le petit bout de tissu se retrouve roulé en boule dans un coin.
Et là, il prend possession de mon sexe offert, ouvert, humide.
Il me caresse longtemps, longtemps, la fente, le clito, il rentre, il sort, titille l'entrée là où c'est le meilleur. Ah il sait y faire le bougre. Pas besoin d'enfoncer au plus profond comme tant de mecs pensent qu'il faut faire. Non la source du plaisir est dans les cinq premiers centimètres.
Je jouis tant et plus, j'ai fermé les yeux pour mieux savourer les sensations.
Il me goûte, me trouve salée.
Il me dit n'avoir jamais entendu une femme ronronner ainsi, qu'il trouve cela agréable.

Mais l'heure tourne et il doit rentrer.
Nous repassons à l'avant de la voiture et il reprend le volant tout en gardant la main droite rivée à mon sexe en folie. Et moi je continue à jouir. On se rapproche de la ville, on va me voir. Tant pis c'est trop bon. Je voudrais que ca ne s'arrête pas. Je me cache dans mes cheveux des fois qu'un piéton ait un oeil qui traîne.
Je sors de sa voiture pour rentrer dans la mienne.

Il part faire ses courses. Je vais bientôt aller faire les miennes aussi.
Ce sera un jeu de se croiser dans les allées. De faire comme si de rien n'était.
Tiens, bonjour Monsieur. Ah bonjour Madame...
Lui seul sait que je n'ai pas remis mon slip, que je suis encore toute trempée.


Je me suis recoiffée comme je pouvais, avec les doigts écartés.
Remis un peu de parfum.
Défroissé mes vêtements.
Je crois que tout le monde sait ce que je viens de faire.
Mais non, chacun à la tête dans son cadye, occupé à faire ses achats de Noël.
J'ai retrouvé un peu mes esprits, je me cramponne au charriot car j'ai encore les jambes en coton.
Et je n'ai qu'une envie, recommencer !

Par Quatre épices - Publié dans : Rencontres
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  • Femme
  • 08/11/1962
  • curieuse sensuelle insatiable bavarde
  • Jolie femme, seule, en manque d'affection et de plaisirs. Laissez moi un petit mot, j'adore ça !

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