Samedi 18 septembre 6 18 /09 /Sep 00:13

Il a 29 ans et vit à Paris. Quatre Epices lui plaît...

Il m'écrit une longue lettre :

 

Salut ô Toi, Maîtresse de mes Nuits, Enchanteresse de mes Rêves,




Ce soir, après dîner, je suis sorti comme à mon habitude pour fumer ma cigarette. Je marche un peu puis m'assois sur un banc derrière mon immeuble. Seulement éclairé par le halo d'un lampadaire. J'observe les étoiles qui apaisent mon coeur et mon âme. J'inspire. Tout n'est que silence. D'un coup, j'entends un bruit de pas sur la place centrale du quartier. Je vois une silhouette se dessiner et approcher. J'exhale un nuage de fumée. La silhouette s'approche, prenant peu à peu une allure féline et féminine. Le son de ses escarpins ne laissent aucun doute. C'est une femme. Je tire sur ma cigarette.

Elle arrive à ma hauteur.

Sa chemise, dévoilant son affriolant décolleté, enserre sa taille. Une jupe légère dessine ses hanches. Cette vision me coupe le souffle. La fumée de ma cigarette brûle mes poumons mais rien comparé à l'ouragan d'émotions bouillonnant en moi. Elle arrive à mon niveau. Ses fesses rebondies dansent au rythme des pas de ses jambes douces et galbées.

Subjugué, ma cigarette tombe de ma main et brûle mon pantalon. J'étouffe un cri. D'un coup, elle se retourne. Son visage angélique, aux pommettes et aux joues rebondies telles deux pommes rouges, est auréolé de mèches brunes. Ses yeux, subtil mélange d'une biche et d'une panthère, révèlent sa fougue nimbée de douceur. Un sourire effleure ses lèvres gourmandes et charnues.

C'est Toi!!

Tu t'approches de moi en me regardant enlever maladroitement la cendre de ma cigarette. Tes yeux mi-clos m'hypnotisent tandis que tes lèvres voluptueuses me savourent par avance.

Tu t'agenouilles à mon niveau. Tes mains douces passent sur mon pantalon pour m'aider, mais ne font qu'augmenter mon trouble. Mon pénis tel un muscle se gonfle. Sur ta bouche se dessine un sourire coquin, ce sourire qui me fait chavirer.

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Ton regard remonte vers le mien et me tétanise. Tes lèvres s'entrouvrent et s'approchent des miennes. Mes yeux se noient dans ton regard pendant que ta suave et délicieuse bouche appose un tendre et langoureux baiser sur la mienne. Tes mains explorent le mont qui s'érige en l'honneur de ta majestueuse beauté.

Mes lèvres savourent goulûment les tiennes. Je mordille ta lèvre, tu enfonces ta langue dans ma bouche. Je la suce et l'aspire. Cette friandise me comble de désir. Ta langue caresse la mienne dans un fougueux baiser. L'atmosphère devient électrique. Mon sexe, gonflé de plaisir, étouffe dans mon boxer. Tu le libères de tes mains chaudes et douces. Tu le caresses tendrement sans quitter mes lèvres. J'ai chaud!! Tes lèvres quittent les miennes. Tes mains enlèvent ma chemise.

Doucement tes mains redescendent pour enserrer mon sexe dur et gorgé de plaisir. Ta bouche descend lentement en effleurant ma peau des tes caresses buccales satinées. Ta bouche s'arrête à quelques centimètres de mon pénis. Je sens ton souffle chaud sur mon sexe. Tu sens mon coeur battre et mon sang afflué dans mon sexe. Tes lèvres y déposent un baiser qui enflamme mon sexe et me rend dingue.

Tes mains expertes remontent doucement vers le haut de mon pénis puis le font coulisser avec tendresse. Tu me regardes avec ta moue coquine. Je n'en peux plus. Je dégrafe ta chemise et laisse ta poitrine s'épanouir. Je caresse tes collines d'amour. Ma bouche se colle à la tienne. Tes mains me caressent le pénis de plus en plus vite. Je sens le désir m'envahir. Je malaxe tes seins et fais durcir tes tétons de mes caresses.

Tu me jettes un regard brûlant de désir. Et descend lentement, effleurant mon torse de tes baisers et lentement, tu gobes mon pénis. Tes mains caressent mes testicules chargés de jus. Ta langue explore mon pénis et l'enfourne dans un va et vient de plus en plus torride. Mon corps se raidit. J'envahis ta bouche de mon sperme épais et volumineux.

La surprise mêlée à la satisfaction se lit dans ton regard de braise. Tu me fixes de tes yeux en recueillant les dernières gouttes de mon plaisir. Tu te redresses, ta poitrine ferme et laiteuse se dresse à mon niveau. Tu soulèves légèrement ta robe, dévoilant tes cuisses douces et galbées. Tu écartes les jambes et t'assieds sur moi.

Malgré l'humide union de ta bouche avec mon sexe, Je sens une chaude et délicieuse humidité. Ta rose ouverte, dévoilée et offerte coule de désir. Tu n'as pas de culotte. Je sens ta vulve charnue, tes petites lèvres vaginales ouvertes laissent s'écouler ta petite et adorable source sucrée.

Je t'agrippe par la taille et embrasse ta poitrine offerte à mes baisers brûlants du feu de l'Amour. Cet Amour que j'ai pour toi et que le sexe amplifiat. Mes mains explorent ton corps qui n'a plus de secret pour moi mais qui pourtant en découvrent à chacune de nos étreintes charnelles.

Les boutons de ta robe cèdent sont mes caresses dévoilant ta croupe rebondie et douce telles de pêches au toucher soyeux. Tu ondules sur moi. Mes mains sur ta magnifique cambrure palpent, caressent et explorent. Ta rose s'ouvre de plus en plus baignant mon sexe dans un bain euphorisant. mmmhhh! Mon pénis reprend vie comme réanimé par ton nectar d'Amour. Cet élixir que j'ai maintes fois savourer au creux de tes cuisses.

Mon sexe se redresse. Je te presse contre moi. Ma bouche remonte vers ton visage. Tes yeux mi-clos d'extase me demande grâce. Je sens ton clitoris durcir et lentement sortir de sa coquille. Tu te redresses sur les genoux et saisit mon sexe érigé comme un totem à la gloire de ta beauté et de ton amour. Tu caresses ta rose de mon pénis et l'immisce tendrement entre tes cuisses.

Tu sens mon sexe s'enfoncer doucement en toi. Tu sens mon gland gorgé de ton nectar se presser contre ta rose. Il glisse en toi. Doucement. Tu pousses un gémissement. Je l'étouffe d'un baiser tendre et mouillé. Tu suces avec fougue ma langue pendant que mes mains guident tes hanches. J'enfourne mon sexe dans ta coquille, Temple de Vénus. Tu sens chaque parcelle de mon sexe s'enfourner en toi.

Ca y est. Quel bonheur, quel plaisir ! Tu ondules de haut en bas et me chevauches. Ta rose enserrant mon sexe de plaisir libérant des flots de ton nectar à chaque mouvement de tes hanches. Ta poitrine palpite et rosit de plaisir. Je la dévore et mordille tes tétons durcis par mes caresses. Tu gémis de plus en plus fort. Ta rose enserrant de plus en plus fort ma tige.

D'un coup, tu te renverses en arrière, ta poitrine rebondit face aux assauts de notre union. Tu rejettes la tête en avant et me mords la lèvre inférieure en poussant un râle de plaisir. Tu inondes mes jambes de ton nectar chaud et sucrée. Tu te renverses sur mon épaule. Face à ce déluge, mon sexe entre en éruption et éjacule des flots de lave incandescente en fusion. Tu me regardes, comblée. Tu déposes un baiser sur mes lèvres, le genre de baiser qui arrête le temps.

Tu te redresses, réajustes ta robe. Et tu repars, doucement dans la nuit. Me laissant profiter, au clair de lune, de tes voluptueuses et sculpturales formes, et me signifie d'un regard, que tu es indomptable et sauvage et que jamais, au grand jamais, Tu ne seras mienne.

D'un coup, j'ai froid. Le bonheur et la mélancolie se mêlent dans mon esprit pour finalement laisser la place à la solitude. Bizarrement, je n'ai pas envie d'une cigarette, juste me coucher pour me rappeler ton visage.

Mille baisers

 

Ma réponse : Tu n'as pas tord, je ne serais jamais à toi.

Vous savez pourquoi vous ?

Par Quatre épices - Publié dans : Courriers
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Dimanche 9 mai 7 09 /05 /Mai 18:29

Il a 23 ans, Quatreepices lui plait.

Il m'écrit :

"Je tiens à vous signaler être intéressé par votre profil et plus précisément votre corps.
Pour vous mettre l'eau à la bouche, je suis très excité à l'idée de vous lécher le sexe durant de longues longues minutes. Mes mains maintiendront fermement vos deux seins, je les malaxerai avec attention. Avec ma langue je remonterai de vos chevilles jusqu'à votre entrejambe. Pendant ce temps avec votre main vous agiterez mon gourdin et le sentirez gonfler entre vos doigts. Et quand celui ci sera aux sommets de sa forme je vous laisserai le manipuler avec bienveillance et expérience, puis vous l'insérerai avec rigueur dans votre vagin.
La magnifique sensation de pénétration se lira sur nos visages......
La suite dans un prochain épisode
"


Je lui réponds quoi ?

Par Quatre épices - Publié dans : Courriers
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Dimanche 11 avril 7 11 /04 /Avr 09:31

Jeu

J'ai envie de jouer...

Tu viens jouer avec moi ?

Non, pas à la belote, ni aux tarots...

Ouvre le tiroir

Prends ces dés là...

de-kamasutra-7900

Tu as compris ?

Lance le dé....

Ah, le sort a désigné cette position là... j'adore !

viens, viens vite, j'ai envie de toi

 

et toi, tu as envie de quelle position ? dis moi et le prochain texte l'illustrera, promis !

 

Par Quatre épices - Publié dans : Récits
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Dimanche 4 avril 7 04 /04 /Avr 08:45

Ses doigts à lui s'étaient glissés sous la ceinture lâche de son jean, sous l'élastique de sa culotte, sur la rondeur chaude de son ventre, tombant en arrêt finalement sur la touffe attendue mais néanmoins excitante de ses poils. Quant à ses doigts à elle, ils avaient dégagé son gilet de corps de ses amarres habituelles, trottiné sur son buste, défait la boucle de sa cienture, ouvert sa braguette et étaient maintenant, Seigneur Jésus, en train de caresser par-dessus son slip le pilier dur comme un roc de sa chair tendue.

...

Sentant une certaine agitation à côté de lui, il ouvrit les yeux et vit Gloria qui pliait le dos et, d'un coup de pied, faisait voler son jean, libérant ses jambes bronzées. Il referma les yeux. Sa main se baladait maintenant librement sous le tissu distendu de la petite culotte légère. Il la laissa glisser sur le délicat nid de poils souples et atteignit une fissure moite. Il y eut un grondement au loin, tel un bruit de bombes ou de fusils. Le mur du son. Il l'entendit haleter à ses côtés. C'est à peine si lui-même osait respirer. Elle écarta ses jambes et l'index plongea comme un phoque dans un creux de rochers, se faufilant contre les parois glissantes, et rencontra quelques chose qui palpitait, se contractait et qui frétillait comme une crevette sous les pieds nus, à marée basse - il devait être en train de devenir fou, pensa-t-il, car il régnait dans la pièce une étrange odeur de crevette. Elle gémit et se mit à se frotter contre son doigt. Il sentit son coeur s'affoler, donner des coups presque terrifiants dans sa poitrine, tant il était effrayé par ce mouvement de va-et-vient si étrange, si puissant, qu'il avait déclenché en elle - c'était comme s'il tenait tout ce corps en équilibre, sans  effort, sur le bout de son doigt et qu'elle était à sa merci, qu'il pouvait la faire s'ouvrir comme une gousse de petits pois ou se retourner comme un gant à la moindre pression supplémentaire ....


David Lodge

Par Quatre épices - Publié dans : Extraits
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Vendredi 19 mars 5 19 /03 /Mars 21:00

Une video pour patienter, je ne trouve pas de temps pour écrire ici en ce moment. Et comme personne ne laisse de com, ça n'encourage pas !



Gainsbourg a mis en musique ce joli poème de Baudelaire. Vous aimez ?
Voici les paroles :

Le serpent qui danse

Que j'aime voir, chère indolente,
De ton corps si beau,
Comme une étoffe vacillante,
Miroiter la peau !

Sur ta chevelure profonde
Aux âcres parfums,
Mer odorante et vagabonde
Aux flots bleus et bruns,

Comme un navire qui s'éveille
Au vent du matin,
Mon âme rêveuse appareille
Pour un ciel lointain.

Tes yeux, où rien ne se révèle
De doux ni d'amer,
Sont deux bijoux froids où se mêle
L'or avec le fer.

A te voir marcher en cadence,
Belle d'abandon,
On dirait un serpent qui danse
Au bout d'un bâton.

Sous le fardeau de ta paresse
Ta tête d'enfant
Se balance avec la mollesse
D'un jeune éléphant,

Et ton corps se penche et s'allonge
Comme un fin vaisseau
Qui roule bord sur bord et plonge
Ses vergues dans l'eau.

Comme un flot grossi par la fonte
Des glaciers grondants,
Quand l'eau de ta bouche remonte
Au bord de tes dents,

Je crois boire un vin de Bohême,
Amer et vainqueur,
Un ciel liquide qui parsème
D'étoiles mon coeur !

 

Par Quatre épices - Publié dans : Images
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